Les chantiers sont repartis mais les entrepreneurs en payent le prix fort via la formule de révision qui est actuellement négative … Les états d’avancement sont en effet lourdement impactés. Chaque mois les entrepreneurs doivent appliquer une réduction de leur prix sur la base d’un indice qui ne reflète pas la réalité de leurs coûts. Dans ces temps de crise, une révision négative des prix allant de 2 % à 9 % est mortelle pour les entrepreneurs.
La FEGC demande la neutralisation des effets négatifs de la révision. Il n’est pas concevable qu’une formule de révision inadaptée soit appliquée de manière aveugle alors que d’autres indices (Abex, consommation, …) continuent à progresser à la hausse.
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